L'indispensable, dirait-on, car sans évacuation, c'est l'inondation. Mais qui regarde ces bouches, ces tuyaux, qui est sensible au rythme de cette composition naturelle, trouvée au coin d'une rue. L'indispensable devient, l'insignifiant et celui-ci devient invisible à nos yeux trop habitués. Il faut la magie d'une photo pour nous le révéler et l'œil du photographe pour le dénicher. J'aime ce regard à l'affût des moindres détails et le don pour en faire un tableau.
L'indispensable, dirait-on, car sans évacuation, c'est l'inondation. Mais qui regarde ces bouches, ces tuyaux, qui est sensible au rythme de cette composition naturelle, trouvée au coin d'une rue. L'indispensable devient, l'insignifiant et celui-ci devient invisible à nos yeux trop habitués. Il faut la magie d'une photo pour nous le révéler et l'œil du photographe pour le dénicher.
RépondreSupprimerJ'aime ce regard à l'affût des moindres détails et le don pour en faire un tableau.
Bravo,
Roger